En début d’année les bonnes résolutions ressurgissent dès les premiers jours du nouveau calendrier, avec une énergie qui semble intarissable.
Chacun y va de son challenge, comme pour une compétition:
« j’arrête une addiction pour de bon cette fois »
« Cette fois c’est décidé, je change de travail »
« Allez, je me remet au yoga,… »
« Je suis super motivé à lancer mon nouveau projet qui me tient tant à coeur»
« Je décide de me former à … »
Bref, les formules chocs ne manquent pas en fonction de nos désirs et besoins du moment.
Après la fin de l’année, qui est un temps d’introspection, de bilan, nous avons envie de remettre les compteurs à zéro au 1er janvier.
Et pourtant, très rapidement cet élan va souvent retomber aussi vite qu’un soufflé. Pris par les obligations, la routine, le rythme quotidien, nous finissons par oublier ces bonnes résolutions et finalement, sans presque s’en apercevoir nous les laissons tomber. Du coup la culpabilité pointe son nez, avec son lot de petites formules dégradantes : « je suis trop nul, incapable, tant pis, je ferai mieux l’année prochaine,… » et le petit diable intérieur de dire tout fier : « tu vois je te l’vais bien dit, tu n’es pas capable ».
Les bonnes résolutions : Facile à dire, mais pas si facile à faire.
La fin de l’année, avec ses nuits les plus longues nous invite effectivement à la prise de recul, l’introspection, à tirer des enseignements de l’année écoulée.
C’est comme de passer les évènements vécus au-cours de l’année dans un filtre et n’en retenir que l’essentiel afin de grandir et se renouveler dans un nouveau cycle.
Cette phase d’énergie yin, si on prend le temps de l’accueillir, est propice à un retour aux éléments fondamentaux qui nous animent.
Dans cet « arrêt », entre 2 temps, jaillissent des intuitions de changements à opérer. Ces informations qui surgissent sont précieuses car elles sont impulsées par nos besoins importants et nos valeurs fondamentales.
Les nouvelles résolutions sont propulsées par une partie de nous qui sait parfaitement ce qui est bon pour nous, que ce soit au niveau physique, énergétique ou émotionnel. Dans le flot quotidien du reste de l’année, ces besoins ne sont pas vraiment entendus.
On peut donc dire que l’intention est bonne, alors pourquoi c’est aussi difficile de passer à la pratique ?
En fait, en arrière plan, caché dans notre inconscient, veille un gardien. Et lui, si il y a bien une chose qu’il ne supporte pas, c’est le changement.
Il va user de tout un tas de ruses pour nous détourner de nos objectifs : oubli, fatigue, flemme, bonnes excuses, les reporté à plus tard… pour finalement arriver à ses fins : ne rien changer.
Comme dans tout changement, il y a 2 parties de nous qui sont en concurrence.
D’abord, notre partie consciente, qui a bien analysé la situation et en a tiré de façon logique ou intuitive un changement à opérer.
Notre partie consciente tire d'un côté de la corde.
Et puis, il y a notre inconscient, qui va 10 fois plus vite que notre mental. Il analyse les données qu’il a enregistré tout au long de notre vie.
Sans même sans rendre compte des freins et blocages inconscients se mettent en place. Parfois ces blocages peuvent remonter à loin dans le temps, voire même être hérités de notre généalogie.
Sans identifier ces limitations, il est donc très difficile de réussir à tenir ses bonnes résolutions.
Il faut collaborer avec notre inconscient pour qu’il accepte progressivement de changer les habitudes qu’il connait si bien.
Notre partie inconsciente tire beaucoup plus fort en face.
La kinésiologie, par l’intermédiaire du test musculaire, établi ce dialogue.
Pour maximiser les chances de réussir vos bonnes résolutions, je propose une alliance, un travail en synergie entre ces 2 parties de vous-même. Avec les tests de kinésiologie, je suis en quelque sorte le médiateur entre vous et vous.
Ainsi nous pouvons aller déloger les freins et blocages qui se manifestent pour vous empêcher de mettre en place réellement ces bonnes résolutions. Parfois, il peut y avoir plusieurs couches successives à travailler.
Pour obtenir un changement durable, il faut mettre en place des routines régulières afin d’imprimer ce changement. On sait qu’il faut au minimum 21 jours pour créer de nouvelles connexions neuronales.
Je vous apporte également un suivi et des encouragements tout au long de ce processus.
En interrogeant votre corps par l’intermédiaires des tests musculaires, il choisira également les soutiens énergétiques qui peuvent lui être utiles (fleurs de Bach, élixirs spagyriques, pierres de lithothérapie,…).
Parfois, pour accueillir du nouveau il ne faut pas oublier de faire de la place, du ménage, comme dans une maison. Du coup il est nécessaire d’accompagner un processus de deuil des choses auxquelles il faut renoncer afin de pouvoir passer à autre chose.
Celui conduit aussi souvent à revoir la façon dont on gère son temps .